GoasDelire: Article 4 ... 23/01/98
Etude du vase interne:
Comme le signifie son nom, c'est un vase tout à fait normal pouvant
contenir des fleurs, à une exception près: un léger trou à
sa base permettant l'évacuation du liquide à un débit
d'environ 3p^3/s, ce qui permet de vider le vase en fonction du temps
sans aucune autre variable.
Le vase se situe à l'intérieur du cerveau des êtres
vivants: vase interne. Sa taille ne dépasse pas 3 picrons
(échelle atomique). Ce vase se remplit avec un tube débiteur
situé dans la vulve macromère (équivalent du "robinet").
Le débit du liquide varie grâce au paramètre P, que nous
étudierons plus tard.
Ce liquide est un des peu nombreux liquides internes du corps humain, l'amiose,
qui est aussi trés utilisé dans l'émincement de la
rotule vénarienne. Il est trés connu pour sa fluidité
cellulaire. La valve de la macromère s'ouvre à intervalles
irréguliers variant en fonction de deux paramètres: le P et le
paramètre d'ouverture M.
Etude du paramètre P: le paramètre P est actif sur deux niveaux,
l'état haut et l'é bas, et de temps en temps l'état
indéterminé (ca n'arrive que quand on est sous l'effet d'une
drogue halucinogène). En général le paramètre P
est à l'état logique 0, il passe à un niveau haut quand
la vulve macromère détecte un front montant, ce front est
réalisé quand quelqu'un nous casse. Ce changement de front est
plus vulgairement appelé "énervement": cette sensation est vient
de la contraction de la vulve, ce qui nous donne une sensation de vexation.
Le paramètre M, c'est tout simplement un paramètre analogique
variant en fonction de la contraction de la vulve macromère. Cette
variation est plus connue sous la forme d'Amplitude de Vexation. Elle fait donc
varier le débit d'amiose dérivée, ce qui remplit alors
au fur et à mesure du temps le vase interne.
La contenance du vase varie en fonction de l'individu: une personne calme a un
grand vase, alors qu'une personne nerveuse a un tout petit vase se remplissant
trés rapidement. Au moment où le vase déborde, cinq
micro-capteurs cellulaires astucieusement disposés détectent la
moindre goute qui a débordé, et envoient directement un flux
nerveux au cortex physique qui s'occupe de tout le combat, jusqu'au KO de
l'adversaire.
L'action du débordement nous est connue sous la phrase: "c'est la goutte
d'eau qui fait déborder le vase". Prochainement je ferai une
thèse d'explication du fonctionnement du cortex physique et un
exposé sur les différents micro-capteurs cellulaires qui
composent notre corps.
Dr GOAS
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